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Une main, un bras, un corps de femme.
Sa peau ébène comparable au plus doux des tissu
Me frôle, me caresse et me touche,
Des frissons me parvient de la tête au pied, ébranlant ainsi ma colonne vertébrale, qui s'affaisse que le coup du plaisir.
Son oeil droit vicieux me dit un tout, son oeil gauche malicieux me dit l'inverse.
Jeux de main jeux de vilain. Mais ici le vilain est une vilaine, charmante et enivrante,
J'ai trouver mon possesseur, ma maîtresse, celle qui me domine pour mieux prendre du plaisir.
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Toi qui me regarde
Toi qui m'insulte
Toi qui as posé la main sur moi
Toi qui dit tout ces mots, sans même y réfléchir
Toi qui me transperce la chaire, en ouvrant la bouche
Tu n'as aucune idée de cette souffrance, ton monde est rose
Le mienne lugubre, sans lumière, sans soleil, sans espoir pour finir noir !
Tu l'as fait sans même l'oser
Tu l'as condamnée sans même lui parler
Tu l'as rejeter sans même la provoquer
Tu l'as tuée sans même la toucher
Tu l'aime sans l'approuver
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Je tombe, m'effondre, me blesse et meurt... !
Voici mon âme, voici ma chute , voilà toute une vie.
Qu'est ce que vous en avez a en dire ?
15ans et pourtant déclaré lesbienne
15ans et pourtant d'innombrable cicatrices
15ans et pourtant que de lame traversant mon âme
15ans et pourtant si proche de la mort.
Plus proche de l'imperfection que de la perfection !
Plus proche de Victor Hugo que de Einstein !
Plus proche des cieux que de l'enfer !
Tellement plus proche du néant que du tout !
...
une vie quoi , comparable a une verre d'eau dans lequel on se noie, a moitié plein a moitié vide
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C'est la main fébrile que j'écris ceci, le cœur serré que j'ose les dirent
Mon sang est mon encre, mes larmes mes pensées, je suis sincèrement désoler.
Ma conscience me dicte mes envi, simplement mes envie c'est de te voir réjouit
La douleur est telle, que mon sang déferle, a l'endroit même de mes précédents méfaits
Je ne voulais pas te dire ça, mais je devais faire comme cela,
Tu mets cher, te voir te détruire, me fait ressentir, le néant s'ouvrir.
Dans ce cœur fatidique, je peine avec peine a chasser ces mots qui se déchaînent, et ces maux qui m'amènent vers cette âme si frêle.
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Je veux m'enfuir pour enfin mourir
Partir pour enfin survivre
M'envoler pour enfin atterrir,
Trépasser pour enfin me libéré
Marcher pour enfin courir
Pleurer pour enfin tuer.
La rage noir qui m'envahit, me détruit, m'anéantit, me survit.
Tout ce que je veux c'est simplement vivre
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